Project Updates
Co-Creating Contextually Appropriate Comprehensive Sexuality Education (CSE) Teaching Approaches for 9–15 Year-old Learners in the Upper East Region of Ghana (CATALYST)
In an increasingly complex geopolitical landscape, cross-sector and cross-continental collaboration is essential for addressing deeply entrenched and socially complex challenges without straightforward solutions. Instead of highlighting our research findings, we want to share reflections on the collaboration itself, which has made the research process more meaningful, equitable, and grounded in mutual learning. Our project, CATALYST, focuses on co-creating contextually relevant, play-based approaches for reproductive health education among 9– to 15-year-olds in Ghana’s Upper East Region.



Sexual and reproductive health and rights (SRHR) remain a global equity challenge, disproportionately impacting women, girls, and underserved communities. Addressing SRHR requires inclusive, collaborative approaches that transcend disciplinary and geographic boundaries. To that end, CATALYST brings together Right to Play Ghana (a non-governmental organisation), the Ghana Education Service, the University of Health and Allied Sciences (Ghana), and the University of the Fraser Valley (Canada). Despite time zone differences spanning Ghana, Eastern Canada, and Pacific Canada, our shared commitment to justice and community-rooted action keeps us united. Meeting virtually, often at the start of someone’s day and the end of another’s, can be logistically complex, but ultimately rewarding. Our team has drawn strength from the diversity of skills, ranging from SRHR programming and community mobilisation to qualitative and quantitative research.

Digital platforms, such as WhatsApp and Microsoft Teams, have played a crucial role in sustaining momentum and fostering connections across continents. While platforms like WhatsApp raise valid concerns about privacy and professionalism, they also enable timely, informal communication that helps bridge geographic and institutional distances. This month marked our 12th CATALYST Team meeting of the year, during which we concluded the first two phases of our research: an environmental scan (local and global) and a baseline exploration of reproductive health education in the Upper East Region of Ghana. Our collaboration has required us to move beyond familiar disciplinary silos, affirming that intersectoral approaches – although often unfamiliar – are essential for generating meaningful, community-grounded solutions in addressing SRHR.
Gender-Transformative Approaches To Address Unmet Adolescent Sexual And Reproductive Health Needs In Rural Nigeria
In a bold step to tackle the growing challenges of Adolescent Sexual and Reproductive Health (ASRH) in rural communities, the Centre for Population and Environmental Development (CPED), in partnership with the Gender Awareness and Development Association (GADA), University of Windsor and Gombe state Ministry of Health, Nigeria, launched a comprehensive stakeholder mobilization campaign across Bauchi and Gombe States. The goal was to build consensus and foster participation in the implementation of an International Development Research Centre (IDRC) supported project titled “Gender-transformative approaches to address unmet adolescent sexual and reproductive health needs in rural Nigeria.” Recognizing that issues of sexuality and reproductive health remain controversial in Northern Nigeria due to deep-rooted cultural and religious sensitivities, the project team designed the mobilization strategy to promote dialogue, inclusion, and ownership among all key actors.


The mobilization effort involved engaging with a broad spectrum of stakeholders—ranging from adolescents (both in and out of school) to school authorities, traditional rulers, religious leaders, and critical government ministries. Ministries involved included Health, Education, Local Government Affairs, Women Affairs, Youth Development, and Economic Planning. These engagements were, not merely ceremonial, but created awareness and platforms for open dialogue and commitment. In Gombe, the Ministry of Education noted, “This is a welcome project in the state… we will work with the Secondary School Board to ensure the research and intervention go smoothly.” Similarly, the Gombe Ministry of Health affirmed its commitment to supporting adolescent well-being through the project, seeing it as a complement to their broader health and education goals.
The successful mobilization has laid a strong foundation for project implementation. Securing government buy-in, with strong local support and collaborative structures in place, the research project stands as a model for advancing adolescent health in ways that are both culturally sensitive and community-owned across Bauchi and Gombe States.
Mieux prendre en compte la santé et les droits sexuels et reproductifs des femmes migrantes et déplacées à l'intérieur du pays vivant dans des quartiers informels au Burkina Faso
Le lundi 23 juin 2025, l’équipe de recherche du projet a tenu une séance de travail à Ouagadougou, consacrée à la préparation de la demande de visa statistique, une étape essentielle sur les plans éthique et administratif avant toute collecte de données.
Cette rencontre a permis d’analyser les éléments requis du dossier, de répartir les tâches entre les membres, et d’élaborer un calendrier précis pour garantir le respect des délais. Le chercheur principal du projet assurera le suivi de l’avancement et des relances si nécessaire. Forte de son engagement, l’équipe prévoit de soumettre la demande de visa statistique au plus tard le 15 juillet 2025.

Lutter Contre Le Trafic Sexuel Au Sénégal : Une Intervention Coconstruite Avec Des Survivantes
Qui : L’équipe du projet et les partenaires locaux de l’intervention
Quoi : une mission d’information et de prospection
Où : Saly, Kédougou et Saréya
Pourquoi : Obtenir le soutien des autorités et de toutes les parties prenantes pour la mise en œuvre du projet.
Quand : Du 05 au 06 à Saly et du 09 au 12 à Kédougou et Saréya
Comment :
L’approche de recherche participative nécessite une collaboration et un travail partenarial pour garantir que les résultats sont pratiques, acceptés et pérennes. A cet effet, le projet s’est appuyé sur des partenaires locaux pour définir les orientations et approches d’intervention du projet. Information des autorités sur les orientations retenues, partage du dispositif organisationnel, des stratégies d’intervention et des attentes du projet d’un soutien institutionnel pour la mise en œuvre et la résolution de problèmes. Visites de plaidoyer aux préfets, réunions d’information avec les responsables des services techniques au niveau départemental et séances de travail aux sièges des ONG locales pour la contractualisation d’un partenariat d’exécution de l’intervention. Le constat de l’incapacité de l’Etat d’être partout dans la lutte contre le trafic sexuel et la concordance des objectifs du projet avec ceux des acteurs locaux comme l’Action Educative en Milieu Ouvert (AEMO), l’Association Départementale pour la Protection de l’Enfant (ADPE), le Centre de Conseil Ado (CCA) et l’Association des Juristes du Sénégal (AJS). La nécessité de développer une communication adaptée et forte avec les communautés pour la mise en œuvre du projet. En fin la contractualisation de protocole d’accord de partenariat avec deux ONG locales, La lumière à Kédougou et Enda action jeunesse à Saréya tandis qu’à Saly l’identification est en cours.
Titre de l’article: Formation en ligne des assistantes de recherche sur la mise en œuvre d’une intervention de lutte contre le trafic sexuel et la méthodologie qualitative.
Qui : Deux assistantes de recherche et membres équipe du projet
Quoi : Formation sur la recherche qualitative et la mise en œuvre d’une intervention de lutte contre le trafic sexuel
Où : En ligne
Pourquoi : Fournir les bases théoriques et pratiques pour intervenir efficacement auprès des personnes victimes ou survivantes de trafic sexuel et les soutenir dans la co-création, le co-pilotage et l’évaluation des interventions de protection et de prise en charge holistique (médicale et psychosociale) des victimes de trafic sexuel à Saly, Kédougou et Saréya
Quand : Du 30 juin au 02 juillet 2025
Comment : La formation a été interactive et a porté sur la recherche sur la mise enœuvre, la recherche participative, la méthodologies qualitatives et quantitatives, la résilience communautaire face au fléau de l’exploitation sexuelle



Renforcer la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs des Adolescentes et Lutter contre les Violences Basées sur le Genre dans un Contexte Humanitaire au Burkina Faso
Dans le cadre du projet *Renforcer la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs des Adolescentes et Lutter contre les Violences Basées sur le Genre dans un Contexte Humanitaire au Burkina Faso*, une étape-clé a été franchie avec l’organisation d’un atelier de révision du protocole de recherche. L’objectif principal était de finaliser le protocole pour sa soumission au Comité d’Éthique pour la Recherche en Santé (CERS), en intégrant les recommandations du comité de sélection ANeSA et en révisant les outils élaborés. L’atelier s’est tenu les 8 et 9 mai 2025 à Ouagadougou, réunissant l’équipe IRSS, les partenaires nationaux (RAME, APEP-J, DRS Centre-Nord et Est) et internationaux (Université Laval, en ligne). Les outils de collecte, les fiches de consentement et le plan de collaboration ont été validés. Le protocole est désormais prêt pour soumission, marquant une avancée décisive vers la mise en œuvre du projet dans les zones humanitaires ciblées.


